L’officier de police judiciaire doit proposer une seconde mesure d’éthylomètre sous peine de nullité de la procédure.

En cas de contrôle d’alcoolémie, l’officier ou l’agent de police doit vous proposer de souffler une seconde fois afin de vérifier votre taux d’alcool. La mesure la plus faible sera retenue. En cas d’écart trop important entre les deux mesures, la fiabilité de l’éthylomètre pourrait être remise en cause.

Dans un jugement du Tribunal Correctionnel de Clermont-Ferrand du 22 novembre 2016, le cabinet a obtenu la relaxe du prévenu à qui l’agent n’avait pas proposé de seconde mesure.

Le prévenu a donc pu conservé son permis de conduire.

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